Chaque année, Les Nuits d’Orient et d’ailleurs invitent à voyager à travers les cultures et les imaginaires. Pour cette nouvelle édition, Tache Papier s’inscrit dans le festival avec l’exposition Mille et une lignes de Niloufar Basiri, artiste iranienne installée à Lyon. Son œuvre, à la croisée du dessin et de la broderie, explore la mémoire et l’identité à travers des formes patientes, répétées, presque méditatives. Ici, la ligne devient un fil conducteur entre les territoires, les temps et les récits.
Sur des papiers millimétrés, Niloufar Basiri fait dialoguer la précision du dessin avec la fragilité du souvenir. Les lignes, les hachures et les motifs y deviennent les fondations d’un langage visuel fait de rigueur et de douceur. Ces compositions rappellent tour à tour les mosaïques de l’architecture iranienne, les trames textiles traditionnelles ou encore les systèmes cartographiques : des paysages imaginaires où se croisent héritage et invention.
En écho à ses dessins, Niloufar Basiri poursuit son travail du geste à travers la broderie. Elle y superpose des motifs inspirés de la miniature persane à des tissus issus du patrimoine français, créant des œuvres hybrides, à la fois ancrées et en mouvement. Chaque point est une trace, un lien entre deux cultures, un geste de soin et de résistance. Le fil, comme le trait, devient un outil de mémoire partagée, un moyen de réconcilier des territoires intimes et des histoires collectives.
Sur des papiers millimétrés, Niloufar Basiri fait dialoguer la précision du dessin avec la fragilité du souvenir. Les lignes, les hachures et les motifs y deviennent les fondations d’un langage visuel fait de rigueur et de douceur. Ces compositions rappellent tour à tour les mosaïques de l’architecture iranienne, les trames textiles traditionnelles ou encore les systèmes cartographiques : des paysages imaginaires où se croisent héritage et invention.
En écho à ses dessins, Niloufar Basiri poursuit son travail du geste à travers la broderie. Elle y superpose des motifs inspirés de la miniature persane à des tissus issus du patrimoine français, créant des œuvres hybrides, à la fois ancrées et en mouvement. Chaque point est une trace, un lien entre deux cultures, un geste de soin et de résistance. Le fil, comme le trait, devient un outil de mémoire partagée, un moyen de réconcilier des territoires intimes et des histoires collectives.
